Topophile — l'ami·e des lieux | la revue des espaces heureux

Lettres topophiles #10

Bonjour [subscriber:firstname] [subscriber:lastname],
Au cours des prochaines lettres topophiles, nous présenterons les différentes rubriques de savoir, la revue des idées. Aujourd'hui...

Dans le miroir du passé

Parce que nous avons la mémoire courte et que les questions d’aujourd’hui sont parfois celles d’hier, cherchons dans le miroir du passé leurs origines et les raisons du succès ou de l’échec des réponses apportées alors, afin de réussir demain.
Outre des articles inédits à caractère rétrospectif, historique voire rétro-prospectif, Topophile s'attache à (re)publier et à traduire des textes essentiels oubliés, méconnus ou introuvables qui éclairent le présent (et peut-être l'avenir) à l'aune du passé.
Ainsi avons-nous traduit Lisa Peattie sur les villes conviviales (1998), Roger Welsch sur les premières constructions en botte de paille (1970), commandé à l'historien Lionel Richard un article sur les pédagogies du Bauhaus, et édité une étude de René Maunier sur la queue ou file d'attente (1943), une rêverie à Paris de George Sand (1867), une conférence d'Émile Trélat sur la salubrité des maisons et des villes (1889), un cours de François Cointeraux sur l'art du pisé (1791), un entretien de Henri Lefebvre sur la musique et la ville (1976)...
Si, au hasard de vos lectures ou recherches, vous trouvez de telles pépites qui résonnent grandement avec les réflexions actuelles, n'hésitez pas à nous les signaler. Merci.

La quinzaine des publications

Félix Edouard Vallotton (1865-1925). "Les chanteurs". Gravure. 1893 [Paris, musée Carnavalet]
La musique et la ville
« La mélodie est un phénomène de nature, c’est l’expression du rythme, du souffle, du cœur [...], tandis que l’harmonie est une convention logique, voire une combinatoire [...] qui, entre autres, serait l’expression de la vie urbaine. »
Par Henri Lefebvre (1976)
L'art du pisé ou la massivation de la terre
« La nature fait donc du pisé ; si tous ses ouvrages sont solides, s’ils durent des siècles, nous pouvons croire que le pisé fait avec plus de soin par la main habile de l’ouvrier doit être meilleur. »
Par François Cointeraux (1791)
Écologiser les conseils municipaux
« Un conseil municipal qui place au cœur de ses réflexions et actions l’écologie [...] doit audacieusement expérimenter la voie d’une alternative qui exalte le processus, la transversalité et l’interrelation [...] pour offrir aux possibles les conditions de leur déploiement. »
Tribune de Thierry Paquot

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Bonne lecture !
Les rhapsodes,
Camille Morin | Martin Paquot | Raphael Pauschitz
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