Topophile, l’ami·e des lieux, la revue des espaces heureux
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Nous voilà arrivés à la 40e lettre topophile, bimensuelle depuis bientôt deux ans. Serait-ce déjà la dernière lettre de l’année 2021 ? Nous ne vous laisserons pas sur votre faim de lectures pendant les congés !

La quinzaine des publications

3-Paysages urbains-Margot Stuckelberger-Topophile
Dans le miroir du passé

Paysages urbains ou les servitudes de beauté

« On ne devrait jamais oublier que la première parure d'une ville, c'est son sol parfois tourmenté, c'est le ruban d'argent du fleuve qui la traverse, c'est la colline verdoyante où elle s'étage, c'est la forêt qui la préserve, c'est l'horizon dont elle est entourée. »
Par Georges de Montenach.
Illustré par Margot Stuckelberger.
Du lisible au visible

« Dans l'œil du crocodile. L'humanité comme proie » de Val Plumwood

« Le caractère biface du dualisme humain/nature nous oblige donc non seulement à repenser la vie humaine en termes écologiques, mais aussi à repenser la vie non humaine en termes éthiques. »
Val Plumwood, Dans l’œil du crocodile. L’humanité comme proie, Traduit de l’anglais par Pierre Madelin, « Domainsauvage », Wildproject, 2021, 200 pages, 20 euros.
Lu par Julie Beauté.
Du lisible au visible

« La beauté du seuil » de Ito Teiji

« Nulle part au monde il n’existe d’espace sans kekkai. Si, tout comme les molécules qui s’entrechoquent dans l’univers, l’homme était jeté dans un monde sans kekkai, il serait pétrifié de terreur ; et si nous étions plongés dans un espace où nous ne pourrions percevoir un kekkai, nous serions étouffés, nous nous sentirions captifs. »
Ito Teiji (1966), La beauté du seuil. Esthétique japonaise de la limite, traduit et commenté sous la direction de Philippe Bonnin, avec Nishida Masatsugu et Marie-Élisabeth Fauroux, CNRS éditions, 2021, 316 pages, 26 euros.
Lu par Thierry Paquot.
Faire

Évisa, où l’on vante les arbres

« Travailler avec les essences locales est pour nous un acte de résistance et de reconnaissance à la fois. Nous voulons mettre en valeur les matériaux locaux, montrer que l’on peut construire en filière courte et sans passer par des matériaux industriels et standardisés. »
François Tramoni (ORMA Architettura) répond aux questions de Sandrine Butron.

La quinzaine des rendez-vous

16/12 | Dehors l'école | Design & Ecologie relationnelle | Paris
07/01 - 08/01 | 8e assises nationales de la construction en terre crue | Asterre | Sevran (93)
13/01 | Construire avec les arbres | Duncan Lewis & Claude Figureau | Arc-en-rêve
27/01 | Les collectifs qui débutent | Lokal & Poulp | Les parlottes | Bagnolet (93)
Vous aussi, proposez vos rendez-vous dans l’agenda participatif de la revue.

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