Topophile, l’ami·e des lieux, la revue des espaces heureux
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Soucieuse de vous régaler de plaisirs intellectuels, Topophile s’attelle comme toujours à sa cuisine littéraire. Contrairement aux sucreries des fêtes, la moisson d’articles que nous vous servons aujourd’hui est à lire et relire sans modération. Votre insatiabilité topophile est bonne pour la santé du corps et de la Terre. Topophile, encyclopédie vivante, est entièrement accessible à la carte ! (Nous acceptons les pourboires…)

La quinzaine des publications

Dans le gang du Kosmos
Dans le miroir du passé

Guy Rottier, ou l'imagination buissonnière de l'arTchitecte

« L'architecture n'est plus un art libre. Elle devient de ce fait objet de transactions et est aujourd'hui monnayable. »

Par Laurent Demarta.
Illustré par William Honffo.
Du lisible au visible

« Architecture et volupté thermique » de Lisa Heschong

« L’homme possède le sens de la chaleur et de la fraîcheur, sens thermique qui n’est pas compté dans la liste traditionnelles des cinq sens, fondamentalement différent de tous les autres. »
Lisa Heschong (1979), Architecture et volupté thermique, traduit de l’anglais (USA) par Hubert Guillaud (1981), « Eupalinos », Marseille, Parenthèses, 2021, 96 pages, 12 euros.
Lu par Emmanuelle Assier.
Du lisible au visible

« Le sens de la merveille » de Rachel Carson

« La faune disparaît parce que son habitat a été détruit. Or l’habitat des animaux sauvages est aussi le nôtre. »

Rachel Carson, Le Sens de la merveille, traduit de l’américain par Bertrand Fillaudeau, collection « Biophilia », Paris, José Corti, 2021, 178 pages, 19 euros.
Lu par Thierry Paquot.
Du lisible au visible

« Unearthed » par Otobong Nkanga au Kunsthaus Bregenz

« Ici, les terreux ont damé, lissé, coulé, saupoudré de la terre crue, recouvrant l’intégralité de la dalle. Les textures, pigments et particules s’entremêlent, fusionnent, s’écaillent et explosent en cratères. »

Otobong Nkanga, Unearthed, au Kunsthaus Bregenz du 23 octobre 2021 au 06 mars 2022.
Vu par Raphael Pauschitz & Alissa Wolff.
Photographié par Raphael Pauschitz.
Sous le préau, l’enfance
Faire

Baulon : sous le préau, l’enfance

« Au lieu de faire 80 m² de circulations, nous avons pu, pour le même prix, proposer plus de 400 m² de cour couverte. Le préau redevient une véritable une cour de récréation couverte. »

Cédric Smal (collectif Faro) répond aux questions de Geoffrey Airiau.

À relire sans modération

Ménager le ménagement

« Le ménagement réclame une disposition à la disponibilité qui se cultive, qui ne va pas de soi, qui se révèle exigeante, tant elle s’alimente d’attentions intentionnées. »

par Thierry Paquot.

Vers une architecture du ménagement

« Au-delà de l’architecture verte, nous avons dorénavant besoin d’une architecture qui soit sensible aux mérites de la réparation, de la préservation, du maintien de toutes les formes de vie et de la planète elle-même. »

par Joan C. Tronto. Traduction inédite par Joanne Massoubre & Martin Paquot.

La quinzaine des rendez-vous

21/10–27/02 | L'empreinte d'un habitat | Pavillon de l'arsenal | Paris | exposition
23/10–06/03 | Unearthed | Otobong Nkanga | Kunsthaus Bregenz | Bregenz (Autriche) | exposition
24/11–27/02 | TerraFibra architectures | Pavillon de l'arsenal | Paris | exposition
27/01–24/04 | Pour la vie | Bruno Serralongue | FRAC Île-de-France | Paris | exposition
02/02–12/03 | Vivre la couleur | Bernard Lassus | Galerie Wagner | Paris | exposition
15/10–22/05 | Guy Rottier, l'architecture libre | Frac Centre-Val de Loire | Orléans (45) | exposition
03/02 | Quel(s) paysage(s) pour l'anthropocène | Thierry Paquot & Agnès Sinaï | Paris | conférence
04/02 | Maison de santé de Prat-Bonrepaux | C+2B Architecture | Construire en terre crue dans la commande publique | en ligne
04/02 | Low tech : Une école sobre et saine I Méandre Etc’ | en ligne
11/02 | École des collines de Valherbasse | NAMA | Construire en terre crue dans la commande publique | en ligne
Vous aussi, proposez vos rendez-vous dans l’agenda participatif de la revue.

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