Topophile, l’ami·e des lieux, la revue des espaces heureux
Bonjour [subscriber:firstname] [subscriber:lastname]
Les savoir-faire sont convoqués par toutes et tous pour construire un nouveau monde ou réparer celui que nous avons blessé et que nous continuons à meurtrir. Topophile révèle notre qualité existentielle de terriens et terriennes et l’impératif de ménager nos lieux d’existence en manifestant notre amitié envers eux (τοπο — topos, le lieu & φιλία — philia, l’amitié). Topophile est l'ami·e des lieux, la revue des espaces heureux.
Considérant qu’il n’y a pas de savoir sans faire, ni de faire sans savoir, Topophile combine théorie et pratique, intellectuel et manuel, tête et main, et ambitionne de constituer une encyclopédie vivante de savoir-faire écologiques & vernaculaires.
Nos publications se répartissent en deux parties : savoir, la revue des idées (essais, traductions, rééditions, critiques, tribunes, entretiens) & faire, la revue des réalisations (questions à un praticien sur un projet).
Savoir & faire se rencontrent sur notre page d’accueil. Les premiers sont reconnaissables par une épigraphe suggérant l’esprit de la pensée, les seconds sont identifiables par une photographie mettant en évidence l’esprit du lieu. Des définitions de la topophilie parsèment — en jaune — la page.
Les huit rubriques de savoir facilitent vos recherches et explorations parmi nos 160 publications, tandis que les réalisations étudiées dans faire sont classées selon cinq thématiques. Une recherche par mot-clé dans l’ensemble de la revue est également possible. À la fin de chaque publication, des suggestions pour aller plus loin tissent des liens entre savoir & faire.
Depuis plus de deux ans, Topophile rhapsode, faîtes-le savoir !

La quinzaine des publications

Du lisible au visible

« Béton : la fin d’une ère ? » de Claude Baechtold, Antoine Harari & Alia Bengana

« Retirer la couche d’un mètre de terre arable, extraire les graviers sur 30 à 60 mètres de profondeur, boucher le trou avec les terres d’excavation de chantier, puis remettre la couche de terre arable pour reprendre les cultures de maïs et de blé comme si de rien n’était. »

Alia Bengana, Claude Baechtold, Antoine Harari. Béton, la fin d'une ère ? Les explorations 10. Genève : Heidi Media SA, 2021. 22 CHF.
Lu par Sarah Ador.
L'utopie ou la mort

Aberration à Malakoff : contre la démolition-reconstruction de la tour INSEE

« La transformation du « déjà là », l’adaptation de l’existant sont une des armes de la lutte contre le dérèglement climatique. »

Par le collectif « Immeuble INSEE pas fini ».
Du lisible au visible

« L'architecte aux pieds nus » de Johan van Lengen

« Bien plus qu’un simple livre sur l’auto-construction, cet ouvrage est une véritable encyclopédie manifeste du rapport sain à établir entre nos habitats et le monde qui nous accueille. »

Johan Van Lengen, L’architecte aux pieds nus. Manuel d’autoconstruction, Traduit du portugais par Lucia Leistner, Préface de Patrick Bouchain, « Habitat / Ressources », Parenthèses, 2021, 480 pages, 1150 illustrations, 29 euros.
Lu par Geoffrey Airiau.
L’abri à vélos, entre centre de loisirs, école maternelle e
Faire

À Rosny, une petite structure se taille de grands défis

« Par la participation des artisans, beaucoup d’éléments souvent invisibles et ignorés reviennent au cœur des échanges et permettent d’appréhender le bâtiment comme un organisme vivant. »

Frédérique Jonnard, maçonne terre crue, Jesse O'Scanlan, charpentier, & Maëlle Valfort, architecte, répondent aux questions de Mégane Rey.

Pour prolonger, à relire sans modération

Cointeraux - Ecole d'architecture rurale - c. 1 pl. 6
Dans le miroir du passé

L’art du pisé ou la massivation de la terre

« La nature fait donc du pisé ; si tous ses ouvrages sont solides, s’ils durent des siècles, nous pouvons croire que le pisé fait avec plus de soin par la main habile de l’ouvrier doit être meilleur. »

Par François Cointeraux (1791).
Dans le miroir du passé

Sandhills, Nebraska : le berceau de la construction en botte de paille

« Il était inévitable qu’un colon désespérant d’un matériau de construction disponible et bon marché considère les grosses et solides bottes de foin comme une solution. »

Par Roger L. Welsch (1970).
Traduit par Martin Paquot.

La quinzaine des rendez-vous

01/04–17/09 | Et si ? Construire et rénover autrement | Exposition | Rouen
01/04 - 20/06 | Candidater au prix d'architecture du projet citoyen | UNSFA
12/04–12/06 | Frugalité créative = Weniger ist genug | Maison de l’architecture de Lorraine | Maison de l'architecture de Lorraine | Metz | Exposition
15/04–31/07 | Territoire Habité | 58 projets d’avenir pour le Grand Orly Seine Bièvre | Ecomusée du Grand Orly Seine Biève | Fresnes | Exposition
12/05 | Les utopies sauveront-elles la planète ? | Tribunal des utopies #3
| Conférence | Toulouse
12/05 | Faire TINY ? Pourquoi, comment, ou ? | Frugalité Normandie | Conférence | Rouen
14/05 | Cité scolaire de Tourny | MWAH | Visite | Normandie
14/05 - 15/05 | Charivari contre l’artificialisation de terres agricoles à la ZAP du Pertuis | Soulèvements de la terre
Vous aussi, proposez vos rendez-vous dans l’agenda participatif de la revue.

Soutenez Topophile

Indépendante, libre d'accès et sans publicité, Topophile poursuit son activité éditoriale numérique depuis plus de deux ans à raison de deux articles par semaine. Topophile fait le pari que ses lecteurs et lectrices reconnaissent sa qualité et assureront sa pérennité par leurs dons réguliers. Aujourd'hui, toute l’équipe est bénévole : autrices & auteurs, traductrices & traducteurs, illustratrices & illustrateurs, éditrices & éditeurs.
Imaginez ce que nous pourrions accomplir ensemble si nos 10 000 lecteurs & lectrices s’abonnaient pour quelques euros par mois !
Vos dons ouvrent droit à une réduction d'impôt de 66 %. Mille mercis à celles et ceux qui nous ont soutenus jusque-là !

Un·e ami·e vous a transmis cette lettre ?

Si celle-ci vous a plu, inscrivez-vous et recevez-la le 1 et le 15 du mois.
facebook instagram twitter linkedin