Joanne Massoubre | architecte, ingénieur
Architecte et ingénieure de formation, elle œuvre à faire évoluer la commande vers un ménagement des gens et des lieux au sein des maîtrises d'ouvrage publique et privée.

Architecte et ingénieure de formation, elle œuvre à faire évoluer la commande vers un ménagement des gens et des lieux au sein des maîtrises d'ouvrage publique et privée.
Geoffroy Mathieu est photographe, diplômé de l'Ecole nationale supérieure de la photographie d'Arles. Il vit et travaille à Marseille. Ses travaux interrogent la manière dont les questions écologiques et politiques se concrétisent dans le paysage. A travers des protocoles de parcours ou d'immersion, seul, en binôme ou encore au sein de collectifs, il documente des territoires en mutation et des zones intermédiaires. Qu'elles émanent de commandes de collectivités territoriales ou d'institutions culturelles, de résidences ou d'initiatives personnelles, ses séries sont menées comme des enquêtes poétiques. Les rencontres avec le réel qui font advenir les images sont nourries d'une préparation documentaire rigoureuse. En utilisant la mobilité de la photographie, à la fois document et fiction, il construit des récits situés.
Il montre ses travaux sous forme d'éditions (Actes Sud, poursuite, Filigranes, Zoème, Wildproject), d'expositions personnelles ou collectives, ou plus récemment de performances marchées. En 2021, il publie La mauvaise réputation (Zoème) à propos du ruisseau des Aygalades à Marseille. Il produit en 2021 pour les Regards du grand Paris #4 (Ateliers Médicis et CNAP) une série sur le glanage urbain : L'or des ruines. En 2022, il conoit une série sur l'errance canine pour la commande publique de la BNF "Radioscopie de la France" : Royal Bourbon, histoires de chiens à La Réunion. Il est co-auteur avec Jordi Ballesta du livre Anti Installation, une collection de dispositifs anti-installation, publié aux éditions Building Books en 2023.
Sociologue atypique (1887-1951), il invente une « sociologie coloniale » étudiant les processus transculturels – notamment l’urbanisation – à l’œuvre dans toutes les sociétés qui sont tour à tour colonisées et colonisatrices. Sa thèse L’origine et la fonction économique des villes. Étude de morphologie sociale (1910) a été rééditée en 2004 à L’Harmattan.
Etudiant en dernière année du Master « Politique Ecologie Soutenabilité » de Sciences Po Lille, passionné par le monde vivant, je suis convaincu qu’une des solutions à la crise écologique que nous traversons réside dans la (ré)intégration de nos rythmes quotidiens au sein des cycles naturels.
Architecte, elle a fondé, avec Maude Cannat, architecte du patrimoine, l’association Eskaapi en 2016 autour de la transmission des savoir-faire en terre crue, et l’Atelier Tikaal en 2024. Depuis l’enfance, l’écoconstruction la côtoie de près avant de devenir sa spécialité à l’issue de ses études. Elle mêle dans son travail création en commun, préservation du vivant et singularité des lieux.
Architecte, lauréat de plusieurs prix nationaux d’architecture, il participe activement au débat public sur l'urbanisme et l'architecture en Algérie.
Docteur en géographie, formation en histoire-géographie à l’ESPE du Centre-Val-de-Loire (Université d’Orléans), auteur de L’Espace dans les livres pour enfants (PUR, 2016).
Architecte du patrimoine, docteur en architecture et chercheur associé au Laboratoire CRAterre (ENSA de Grenoble), auteur d’une thèse en architecture soutenue en 2023 intitulée Construire la ville en terre. Le pisé, matériau essentiel de l’extension urbaine de Lyon (XVe-XIXe siècles)sous la direction de Thierry Joffroy.
Frédérique Mocquet est architecte, docteure en architecture, urbanisme et aménagement et maîtresse de conférences à l’École d’architecture de la ville et des territoires Paris-Est. Elle est membre permanent de l’OCS AUSser (UMR 3329 du CNRS) et membre associée du laboratoire LLSETI (axe Humanités environnementales) de l’Université Savoie Mont-Blanc. Ses travaux en histoire de l’aménagement, au croisement des disciplines de l’espace, des études visuelles et de l’histoire environnementale, portent notamment sur les imaginaires et les représentations de la nature et des paysages, et sur les rôles que les images jouent dans la fabrique des territoires.