Rendez-vous

16/10/2024

19:30

La Seine transformée en autoroute logistique ? | Stany Cambot & Bassée vivante

Débat

Paris

2024-10-16 19:30 2024-10-17 00:00 Europe/Paris La Seine transformée en autoroute logistique ? | Stany Cambot & Bassée vivante Libraire Le Merle Moqueur Le Chiffon, journal francilien d’enquête, vous convie à cette soirée-débat pour la sortie de son n°14 (automne 2024) consacré à l’industrialisation du transport fluvial sur la Seine. En présence de : Stany Cambot, architecte, auteur d’une "introduction à l’Axe Seine et à la transformation logistique du fleuve" dans Le Chiffon. Bassée Vivante, collectif qui lutte pour la conversation de la plus grande zone humide d’Île-de-France, en Seine-et-Marne, menacée par un projet de « grand gabarit » sur la Seine. L’occasion de découvrir le journal (et une partie de son équipe), de se procurer le dernier numéro (et les plus anciens) et de prendre l’apéro ! On vous attend en nombre. Plus d’information : lechiffon.fr — Extrait des articles du dossier : « Pour les aménageurs du XXIe siècle, la Seine n’est plus un fleuve, mais un "Axe" Paris-Rouen-Le Havre. Un "corridor logistique" offrant à la région-capitale une précieuse ouverture sur la mer, qui lui permettrait de rester au plus haut niveau de la compétition économique mondiale. Et pour fluidifier au maximum leurs projets, les promoteurs de cet "Axe Seine" ont recours à des innovations réglementaires, fiscales et anti-institutionnelles, accompagnées d’un "grand récit métropolitain". Enquête. » — « Si ce méga-projet de grand gabarit est dans les esprits depuis les années 1980 et qu’il se structure à la fin des années 2000, les prochains mois et les prochaines années seront décisives. Le lancement des travaux nécessite une autorisation environnementale qui pourrait être délivrée fin 2024 ou début 2025. "Il y a encore moyen de faire sauter ce projet, analyse Miza, mais on a un gros travail d’information à faire auprès des riverains qui sont très peu au courant de ses impacts négatifs". Et Calo ajoute : "C’est un projet qui a très mal vieilli ! Construire une autoroute fluviale à blé cultivé intensivement pour l’export, ou une autoroute à béton pour continuer des projets destructeurs, ça n’a plus de sens pour une société soutenable et écologique". » Le merle moqueur, 51 rue de Bagnolet, 75020 Paris Libraire Le Merle Moqueur La Seine transformée en autoroute logistique ? | Stany Cambot & Bassée vivante

Libraire Le Merle Moqueur

Le merle moqueur, 51 rue de Bagnolet, 75020 Paris

 

Le Chiffon, journal francilien d’enquête, vous convie à cette soirée-débat pour la sortie de son n°14 (automne 2024) consacré à l’industrialisation du transport fluvial sur la Seine.

En présence de :

Stany Cambot, architecte, auteur d’une "introduction à l’Axe Seine et à la transformation logistique du fleuve" dans Le Chiffon.

Bassée Vivante, collectif qui lutte pour la conversation de la plus grande zone humide d’Île-de-France, en Seine-et-Marne, menacée par un projet de « grand gabarit » sur la Seine.

L’occasion de découvrir le journal (et une partie de son équipe), de se procurer le dernier numéro (et les plus anciens) et de prendre l’apéro !

On vous attend en nombre.

Plus d’information : lechiffon.fr

Extrait des articles du dossier :

« Pour les aménageurs du XXIe siècle, la Seine n’est plus un fleuve, mais un "Axe" Paris-Rouen-Le Havre. Un "corridor logistique" offrant à la région-capitale une précieuse ouverture sur la mer, qui lui permettrait de rester au plus haut niveau de la compétition économique mondiale. Et pour fluidifier au maximum leurs projets, les promoteurs de cet "Axe Seine" ont recours à des innovations réglementaires, fiscales et anti-institutionnelles, accompagnées d’un "grand récit métropolitain". Enquête. »

« Si ce méga-projet de grand gabarit est dans les esprits depuis les années 1980 et qu’il se structure à la fin des années 2000, les prochains mois et les prochaines années seront décisives. Le lancement des travaux nécessite une autorisation environnementale qui pourrait être délivrée fin 2024 ou début 2025. "Il y a encore moyen de faire sauter ce projet, analyse Miza, mais on a un gros travail d’information à faire auprès des riverains qui sont très peu au courant de ses impacts négatifs". Et Calo ajoute : "C’est un projet qui a très mal vieilli ! Construire une autoroute fluviale à blé cultivé intensivement pour l’export, ou une autoroute à béton pour continuer des projets destructeurs, ça n’a plus de sens pour une société soutenable et écologique". »