Sandrine Butron | ingénieur
Ingénieure génie civile, elle s'intéresse aux filières de réemploi en Occitanie.

Ingénieure génie civile, elle s'intéresse aux filières de réemploi en Occitanie.
Urbaniste, professeur émérite de planification du développement à l'University College London / Development Planning Unit. Il travaille et milite depuis des décennies pour le droit à la ville et au logement. Depuis le début des années 1990, il soutient, recherche, enseigne l’agriculture urbaine, la souveraineté alimentaire et les cités jardins du futur dans différentes régions du monde et publie régulièrement sur ces sujets. Il écrit avec Philip Ross : 21st Garden Cities of To-Morrow. A manifesto (New Garden City Movement, 2014).
Architecte du patrimoine, elle a fondé l’association Eskaapi en 2016 et l’Atelier Tikaal en 2024 avec Rachel Méau, architecte. Spécialisée dans le patrimoine vernaculaire et la construction en terre crue, elle étudie, au travers de ses dessins, patrimoine et art d’habiter pour une architecture résolument écologique et consciente de son environnement.
Déléguée générale de l'association Architecture et Maîtres d’ouvrage où elle œuvre à la promotion d'une culture architecturale partagée entre maîtrise d'oeuvre et maîtrise d’ouvrage. Sa passion pour la Chine (où elle a vécu 3 ans) et ses mutations urbaines alimente aujourd'hui une partie de ses réflexions et de ses écrits.
Diplômée d'architecture, elle participe (à distance) à la revue Topophile depuis décembre 2020. Elle s'intéresse en particulier aux enjeux liés à la préservation et transformation du patrimoine bâti et paysager ainsi qu'à l’Histoire des matériaux et des techniques constructives.
Ancien doyen du Sterling College (Vermont, USA) et actuel directeur du Schumacher College (Devon, UK). Dans le cadre du projet « Climate Run », il court à travers les régions arctiques et subarctiques afin de mettre en avant notre relation à l’au-delà-de-l’humain et les effets du changement climatique.
Penseur de l’écologie politique (1910-1996), collaborateur de La Gueule Ouverte et de Combat nature, ami de Jacques Ellul, ce professeur d’histoire-géographie s’intéresse très tôt au sentiment de la nature et aux saccages provoquées par le modèle productiviste sur les paysages. Il est l’auteur notamment de Le Jardin de Babylone (Gallimard, 1969, réédité par L’Encyclopédie des Nuisances) et La fin du Paysage / Vers la banlieue totale (Anthropos, 1972 / Eterotopia, 2018).
Paysagiste, elle s’inspire des gravures de Gustave Doré, des compositions de Tatiana Trouvé, des mises en scène de Thomas Ostermeier pour dessiner des portraits de paysage. Elle prend le temps nécessaire pour comprendre les espaces qu’elle traverse, ses dynamiques, ses rythmes. Ainsi elle a le sentiment de se rendre disponible aux lieux, d’en faire partie.